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I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël Xqe6a9 I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël Img-224909knfqf I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël Ffd2bq
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 I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël

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B. Samaël Voscovitch

B. Samaël Voscovitch

I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël 30jloa0
◊ avatar : K.Stew ♥
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◊ citation : «Pour leurrer le monde, ressemble au monde ; ressemble à l'innocente fleur, mais sois le serpent qu'elle cache.»
SHAKESPEAR

- welcome in shutter island
Groupe: Bâtiment C
Âge du personnage: 21 ans
Raison de sa présence sur l'île: si je te dis qu'elle a tué tout un tas de gens depuis huit ans, tu me crois? (:

I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël _
MessageSujet: I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël   I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël Icon_minitimeMer 28 Juil - 14:16

I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël Th_76 I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël Th_6-5
...AND ONE DAY, I'LL SEE YOU DEAD

L'attente était longue. Je n'étais pas du genre patiente alors mes nerfs commençaient à lâcher. Pourtant, il fallait que je reste calme et souriante. Ainsi, peut-être, relâcheraient-ils un peu la pression autour de ma petite personne. Par "ils", j'entends tous ces aides-soignants et autres matons. Je sentais leurs muscles tendus chaque jour. Je ne me lassais pas de les voir me craindre, mais quand on vous surveille deux fois plus que d'autres, cela à de quoi énerver. Et le jour où ça explose, ça fait mal. N'est-ce pas Samaël... Tu aimerais pouvoir exploser tous les jours pour renvoyer certains aides-soignants d'où ils venaient... J'en mourrais d'envie, mais je crois que ce n'est pas nouveau. Du coup, je tentais de me contrôler en attendant cette maudite infirmière pour cette maudite visite. J'avais le poignet tordu. Il avait fallut un temps pour que je m'en rende compte. Je ne voyais pas comment j'avais put me blesser ainsi. Surement à cause d'une altercation avec un autre patient. C'était généralement la raison à mes blessures.
Reste calme, Tu n'as personne à frapper. Nous étions dans un bâtiment très protéger ici. D'autant plus qu'on était à l'étage où se trouve le bureau du directeur. Rien qu'au luxe qu'offrait se couloir, on savait qu'il y avait un monde entre celui-ci et nous autres patients. Pourtant, j'aurais, quelques années plus tôt, put considérer l'endroit comme miteux. Un fauteuil de premier prix contre un mur épais aux couleurs sombres. Sommaire. Banal. Mais bien plus confortable que la cellule dans laquelle je me trouvais depuis un an. Remarquez, une cellule, ben c'est une cellule. Le strict minimum était fournit. Un matelas, quatre murs de briques, un lavabo. C'est tout. Ouais, si j'avais le choix, je dormirais sur ce canapé.
Une porte s'ouvrit. Je tournai la tête en espérant que l'infirmière se libérait pour me prendre. Mais non. C'était deux type qui portait des vêtement classique, ceux de tous les jours qu'on nous avaient retiré dès notre arrivée. Je ne voyais que le dos de l'un. Il avait un corps plutôt massif. Pas gros, loin de là, mais toute personne saint d'esprit n'irai pas le chercher. L'autre était encore dans la pièce. Je ne distinguais qu'un bras. Et une main. Le type avait plus de la trentaine. Parlons d'ailleurs de mes mains qui, posées sur mes genoux, se resserrèrent jusqu'à former deux poings. Je me doutais de l'identité de ces hommes. Le directeur et son co-directeur. Si c'est pas malheureux d'être second. Ce pauvre type doit mourir d'envie de tuer son supérieur hiérarchique pour prendre sa place. Owen Cobb se tourna. Sa discussion était terminée. Un étrange sentiment envahi mon corps. Ce n'était pas la première fois que je le ressentais, encore moins avec cet homme. Je n'arrivais pas à comprendre d'où venait ce ressentit. A chaque fois que je comprenais ce qu'il se passait, il y avait cette petite voix qui disait: Ne te laisse pas charmer. Si ce type te plait, c'est parce qu'il est mauvais. Il fera le mal où qu'il aille. Tue-le
Et ainsi, en deux seconde, je me retrouvais à plaquer ce "cher" co-directeur contre le mur en écrasant sa carotide. Je vous assure que la seule idée que j'avais en tête était de le tuer...
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Owen Harrison Cobb
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Owen Harrison Cobb

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◊ citation :
« Well dreams, they feel real while we’re in them, right? It’s only when we wake up that we realize how things are actually strange. Let me ask you a question, you, you never really remember the beginning of a dream do you? You always wind up right in the middle of what’s going on. » dom cobb, inception


- welcome in shutter island
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Raison de sa présence sur l'île: Il aide son frère à la gestion de 'l'internat'

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MessageSujet: Re: I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël   I WANT TO HURT YOU ... ♦ pv Owen & Samaël Icon_minitimeMar 3 Aoû - 3:31

    « Owen, tu m'écoute? » Le bras du dit Owen venait de glisser de l'accoudoir de son fauteuil lorsque les mots raisonnèrent dans le grand bureau. Non, il n'écoutait pas. Il était bien trop préocupé à rattraper ses nuits de sommeil qu’il avait en retard. Voilà trois jours qu’il n’avait pas fermé l’œil, et cela devenait tout de même de plus en plus gênant. Pourquoi n’arrivait-il pas à dormir ? A cause de plusieurs choses, en réalité. De une, ce qui s’était passé avec Maxine, quelques jours auparavant. Il ne savait plus très bien où il en était, s’il l’aimait ou non. Une grande partie de lui s’obstinait à croire qu’il était fou de cette fille, fou de sa voix, de ses yeux, de ses manières . Mais, car il y a toujours un mais, l’autre partie qui constituait Owen lui faisait croire que ce n’était qu’une erreur, un accident de parcours. Il ne savait plus laquelle croire. De deux, trois jours plus tôt, une jeune blondinette débarqua et lui annonça qu’il s’agissait de sa fille. Ou plutôt, c’est sa mère qui dit à Cobb, comme si tout cela était totalement naturel : « Je ne suis pas ici pour toi, Owen, mais pour ta fille ». Je peux vous dire que cette déclaration avait eut l’effet d’une décharge sur le trentenaire. Il y avait ensuite eut, en troisième position, l’agression de Nicolas, un gardien dont il était assez proche, par Deven Holloway. Quoi qu’il en soit, ces trois choses additionnées faisaient que le co-directeur de l’île n’arrivait plus à trouver le sommeil, tourmenté par ces impétueux problèmes. Cependant, même s’il n’était pas vraiment très attentif à ce que pouvait lui compter Aemes, quelques mots vinrent tilter à son oreille. Problème. Budget. Argent. Île. Coups. Papa. Ce dernier avait eut plus d’importance que les autres lorsqu’il vint sonner aux tympans d’Owen. Il ne put s’empêcher de réagir : « Euh attends là, tu peux répéter ?! Papa quoi ? » « Et bien j’ai dis que Papa, lui, n’aurait jamais eut une telle réaction envers un patient, même si le dit patient était Deven Holloway. Il ne serait jamais allé jusque là, et si jamais il voit ça de là haut il risque d’être déçu par ton attitude. » Un air colérique s’afficha sur le visage de Cobb. Il ne supportait pas que son aîné le prenne ainsi de haut. Il empoigna sa veste et se dirigea vers la porte. Cependant, au moment de saisir la poignée, il se retourna et dit : « Ne me compare plus à Papa, compris ?! Ne me dit jamais comment je dois agir. Bordel j’suis plus un gamin ! ». Il n’eut pas le temps de passer la porte, bien qu’elle fut ouverte, que la main d’Aemes était déjà posée sur son épaule. « Owen, calme toi. T’as l’air crevé.. Tu sais pas ce que tu dis. » « Ne me touche pas et surtout la ferme. » Il sortit en trombes dans le couloir pour se diriger vers son propre bureau, sur les nerfs comme jamais, lorsqu’il fut plaquer contre le mur sans même comprendre pourquoi. Du moins, avant d’apercevoir son assailleur. Samaël Voscovitch, l’une des patientes du bloc C. Elle avait son bras appuyé sur la carotide d’Owen et restait là, à le fixer. Cobb, quant à lui, n’avait pas envie de perdre son temps avec cette histoire et il comptait bien en finir au plus vite en utilisant la méthode habituelle : les piqûres. Il avait aperçu, en sortant du bureau de Aemes, des matons qui attendaient dans le couloir. Pouvant toujours disposer de ses bras, il tourna son regard vers l’un d’entre eux et mima le geste d’une injection. L’homme hocha la tête et parti en direction de l’infirmerie. Owen, quant à lui, reporta de nouveau son attention sur la brunette qui lui avait sauté au cou. Il avait l’habitude qu’on essaye de le tuer et, au bout d’un certain nombre de fois, il a prit le plis pour calmer ces importuns. D’une voix douce, calme, mais dans laquelle un certain cinisme se faisait entendre, il déclara : « A ta place, je n’aurais jamais fait ça.. » D’un geste rapide, il saisit le poignet de la demoiselle, le tordit, le plaça dans son dos et la fit s’appuyer au mur. Il approcha sa bouche de l’oreille de Samaël et dit : « Car vois-tu, moi aussi je connais quelques techniques plutôt pas mal dans leur genre.. » Le co-directeur n’eut ensuite qu’à claquer des doigts et la seringue se trouva dans sa main la seconde d’après. « Fait de beaux rêves.. » avait-il soufflé.

    Une heure après s’être fait plaqué au mur par Samaël, Owen se retrouvait à l’infirmerie pour le réveil de la patiente. Certes, comme dit plus haut il avait l’habitude du fait que la plupart - la grande majoritée, en vérité - des patients voulaient le tuer, en rêvaient, mais il était toujours curieux de connaître les raisons de ces élans de haine envers sa personne. C’était comme un éternel manège qui se répétait. Encore et toujours, il endormissait ses potentiels tueurs et attendait leur réveil à leur côté, la plupart du temps avec ce sur quoi il travaillait sous la main. A chaque fois, il devait patienter environs soixante minutes avant le retour à la réalité des patients. Une fois n’est pas coutume, ce fut le cas encore aujourd’hui. Lorsque Samaël ouvrit les yeux, la tête de Cobb se redressa automatiquement. Il ne la laissa même pas articuler le moindre mot et commençait déjà à lui adresser la parole, sa voix toujours remplie de sarcasmes. « Alors comme ça t’essaye de te la jouer genre grande justicière qui veut se barrer de l’île et qui, pour arriver à ses fins, essaye de buter le méchant directeur ?! Et bah pour cette fois, c’est raté.. »
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